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samedi 26 décembre 2009

Bonnes Vacances Happy Holidays


Je vous souhaite de bonnes vacances de fin d'année.
Je pars sur Paris pendant quelques jours, j'espère revenir avec de belles photos du Grand Palais et autres.
Bisous à vous !

I wish you a happy Christmas (I know, I'm late) and happy holidays too.
I'm going to Paris for a few days, I hope to come back with some nice pictures of the Grand Palais and others.
Hughs and kisses!




Grand Palais...
"
...l'événement allie pour cette nouvelle édition, du 18 décembre au 1er janvier 2010, arts forains, jazz manouche et gitan."

"...The show will be returning to the Grand Palais from December 18 2009 to January 1 2010, and this year's version will bring together the arts of the fairground and gypsy jazz."

programme jours de Fêtes
the end-of-year festivities

(av trouvé sur LJ et modifié en ajoutant de la neige ;) )



mardi 22 décembre 2009

Crea 20XII2009 Le vieux Violoniste - dessin encre

Le Vieux Violoniste - The Old Violinist

Dessin à l'encre, format A3 / Ink on paper - A3

J'ai ajouté une texture en arrière plan pour un rendu plus ancien /
I added a background
texture so that the drawing seems more antique

+ petit poème que j'avais écrit en 2005 / + little poem that I wrote in 2005.




le vieux Violoniste
dessin cliquable pour le voir en plus grand
click: biggest...

le vieux violoniste encre dessin liz douce folie

vendredi 18 décembre 2009

Crea 17 XII 2009 - The Mad Hatter - Le Chapelier Fou

Je ne pouvais pas faire autrement que de dessiner le Chapelier Fou... une tasse de thé ? ;)


Johnny Depp dans le rôle du Chapelier Fou (Mad Hatter)
Film de Tim Burton (Alice in Wonderland, 2010)


Encre, aquarelle, acrylique
dessin rapide sur papier - format A3

Ink, watercolor, acrylic
quick drawing on paper - A3

Johnny Depp / Mad Hatter
dessin cliquable pour le voir en plus grand

click: biggest...


Johnny Depp Mad Hatter Chapelier Fou

Crea 15 XII 2009 - Antonin Artaud dessin portrait encre

Antonin Artaud dans le rôle de Jean-Paul Marat,
(Antonin Artaud as Jean-Paul Marat)

film "Napoléon" d'Abel Gance (1927)
(Napoléon (1927) is an epic silent French film directed by Abel Gance that tells the story of the rise of Napoleon I of France.)



Encre - dessin sur papier - format A3
Ink - drawing on paper - A3


Antonin Artaud
dessin cliquable pour le voir en plus grand
click for the big version...


 Antonin Artaud Marat encre Abel Gance

"J'aime le cinéma. J'aime n'importe quel genre de films. Mais tous les genres de films sont encore à créer. Je crois que le cinéma ne peut admettre qu'un certain genre de films : celui seul où tous les moyens d'action sensuelle du cinéma auront été utilisés."
Antonin Artaud - citation / quote


Liberté - un film de Tony Gatlif

"Petit" post pour un grand film, en mémoire d'une partie mes ancêtres.
 

Rencontre entre un réalisateur incroyable (Tony Gatlif)
et un artiste poète (James Thiérrée)
le temps d'un film : Liberté





liberte tony gatlif James Thierree


Liberté, un film de Tony Gatlif

* Drame
* Date de sortie : 24 Février 2010


liberte tony gatlif


Synopsis :
Théodore, vétérinaire et maire d’un village situé en zone occupée pendant la seconde guerre mondiale, a recueilli P’tit Claude, neuf ans, dont les parents ont disparu depuis le début de la guerre. Mademoiselle Lundi, l’institutrice fait la connaissance des Tsiganes qui se sont installés à quelques pas de là. Ils sont venus pour faire les vendanges dans le pays. Humaniste et républicaine convaincue, elle s’arrange, avec l’aide de Théodore, pour que les enfants Tsiganes soient scolarisés. De son côté, P’tit Claude se prend d’amitié pour Taloche, grand gamin bohémien de trente ans qui se promène partout avec son violon sur l'épaule. Mais les contrôles d’identité imposés par le régime de Vichy se multiplient et les Tsiganes, peuple nomade, n’ont plus le droit de circuler librement : Théodore cède alors un de ses terrains aux bohémiens, désormais sédentarisés. Tandis que les enfants Tsiganes suivent les cours de Mademoiselle Lundi, P’tit Claude est de plus en plus fasciné par le mode de vie des Bohémiens – un univers de liberté où les enfants sont rois. Mais la joie et l’insouciance sont de courte durée : la pression de la police de Vichy et de la Gestapo s’intensifie et le danger menace à chaque instant. Comme ils l’ont toujours fait depuis des siècles, les Tsiganes devront reprendre la route…



Avec : Marc Lavoine , Marie-Josée Croze , James Thierree, Rufus,
Carlo Brandt, Arben Bajraktaraj, Georges Babluani, Bojana Panic



Vidéo France 3 ->









(photos du film et entretien avec Tony Gattlif, ...)



Extrait de l'entretien :

"Comment est née l'idée de LIBERTÉ ?
J'avais envie de faire un film sur l'holocauste des roms depuis que j'ai commencé à faire du cinéma. Mais le sujet me faisait peur. Les Roms que je rencontrais me disaient souvent : "Fais-nous un film sur la déportation des Roms".
Début 2007, participant à un colloque international des Roms à Strasbourg, des jeunes élus roms de la communauté européenne m'ont fait la même demande. Ils me disaient à quel point ils souffraient de ce manque de reconnaissance, de l'ignorance des autres vis-à-vis de leur propre histoire.
Je ne voyais pas comment faire ce film, moi qui suis un cinéaste qui aime la liberté de la caméra, comment respecter les règles d'une stricte reconstitution. Et je reculais de peur de mal faire en réalité.
Et puis un jour, j'apprends que Jacques Chirac va rendre hommage aux Justes en les réunissant au Panthéon. Je me suis dit : on va enfin savoir si certains Justes ont sauvé des Tsiganes. Malheureusement ils n'étaient pas présents. Je me suis mis à les chercher.
J'ai fini par trouver une anecdote de quelques lignes : "Le destin d'un dénommé Tolloche fut particulièrement tragique. Interné à Montreuil- Bellay, il réussit à se faire libérer après avoir acheté, par l'intermédiaire d'un notaire, une petite maison à quelques kilomètres de la ville. Incapable de vivre entre quatre murs, il reprit la route pour retourner dans son pays d'origine, la Belgique. Il fut arrêté dans le Nord et disparut en Pologne avec ses compagnons d'infortune".
C'est le destin de ce Tolloche qui a pris tous les risques pour sauvegarder sa liberté qui m'a décidé à faire ce film. Et puis il y a ce Juste, un notaire, qui lui aussi a pris tous les risques pour tenter de le sauver...


(...)


Comment avez-vous écrit Liberté ?
J'ai écrit la première trame du scénario en un mois. Je me suis libéré du poids que je portais depuis longtemps. Tout est devenu clair lorsque j'ai compris que je ne pouvais raconter cette histoire qu'à travers deux Justes. Théodore, un maire et vétérinaire de village et Mlle Lundi, l'institutrice. Les deux m'ont été inspirés de personnages qui ont existé : Théodore, le notaire qui a tenté de sauver Tolloche et sa famille et Mlle Lundi d'après l'histoire vraie d'une institutrice, Yvette Lundy, qui travaillait à Gionges dans la Marne. Résistante, elle fut arrêtée puis déportée. Elle m'a aidé à travailler toutes les scènes qui concernent son personnage et l'école.
Je me suis aussi beaucoup servi de mon histoire personnelle et de gens qui m'ont aidé dans mon enfance et ma jeunesse : mon instituteur, mes éducateurs, ma professeur d'art dramatique. Je connais bien les Roms de tous les pays, je sais comment ils sont. Entre aujourd'hui et 1940, ils n'ont pas changé. Je n'ai eu aucun mal à les décrire. J'ai reconstitué une famille tsigane, qui traverse l'Europe et qui a été coincée en France par la guerre. Pendant un an, j'ai travaillé sur cette reconstitution. Les hommes ont laissé pousser leurs cheveux et leurs moustaches. Tous les acteurs ont fait un régime car à cette époque il n'y avait pas à manger. Nous avons construit trois roulottes identiques à celles de 1940. Les Tsiganes nomades ne sont pas quelque part, on ne va pas les chercher. Un jour, ils arrivent au bout d'un chemin au fond d'un bois, on les voit apparaître comme le vent. On ne sait pas d'où ils viennent, on sait juste quand ils arrivent. Pour leur première apparition dans le scénario, je les ai décrits de cette façon. Une fois cette ébauche de scénario terminée, je me suis aperçu qu'il me manquait l'âme tsigane.
L'âme tsigane n'est pas facile à raconter et à faire comprendre. Il n'y a pas de mot dans la langue tsigane pour signifier Liberté. Les Tsiganes n'emploient pas ce mot car ils sont libres. Il fallait que je trouve un personnage qui, à travers sa pureté, sa naïveté, sa fantaisie, sa liberté, ses folies, représenterait toute la communauté rom. Ce fut Taloche. Il m'a fallu ensuite près d'un an pour arriver au scénario final. En écrivant ainsi, j'ai du même coup approché les raisons du silence qui entoure Samudaripen (le génocide des roms). Les Tsiganes ont peur des fantômes. Lorsqu'ils entrent dans une cave, ils en sortent en courant de peur d'y croiser des revenants. Taloche est ainsi : il a peur des morts. Que s'est-il passé à la fin de la guerre, lorsque les Tsiganes ont compris que des centaines de milliers d'entre eux avaient péri exterminés ? Ils ont eu peur de ces morts, peur de les réveiller, peur qu'ils reviennent. Peur d'en parler, en définitive. Aujourd'hui c'est fini, mais cette crainte a existé jusque dans les années 80.


(...)


James Thiérrée, qui joue le personnage de Taloche, n'est pas rom...
C'est exact. Pour ce rôle, je voulais un musicien, quelqu'un qui soit à la fois capable de jouer de la musique, de monter aux arbres et d'en tomber. Sans tricher... Impossible a priori de trouver un tel acteur. Et puis un jour, j'ai vu James au Théâtre de la Ville à Paris. Je n'avais jamais vu ça. J'étais impressionné. C'est l'acteur dont je rêvais pour ce rôle.
N'étant pas rom, il a fait un travail énorme pour l'être. Pendant six mois, il a appris à parler la langue rom, à jouer de la musique tsigane et surtout à se laisser posséder par la liberté de Taloche.


liberte James Thierree


(...)


En voyant le film, on est frappé par votre volonté de casser les clichés, même si la représentation des roms que vous faites est très précise.
Dans LIBERTÉ, j'ai cherché à démythifier certains clichés. Par exemple pour la musique, il y a cette scène où on les voit donner un concert à... des poules ! Je me suis amusé de ce cliché bien que la musique, dans les films et concerts, ait contribué à faire aimer et accepter les Tsiganes.
Je voulais les montrer tels qu'ils sont, par exemple maquignons, forgerons, musiciens. Et s'ils refusent que leurs enfants aillent à l'école c'est de peur qu'ils ne perdent leur âme.
La scolarisation des enfants roms, c'est le problème majeur encore aujourd'hui. Dans LIBERTÉ l'école est un lieu central. Sauf que s'ils veulent bien y aller, c'est à la condition que les enfants soient payés car ils considèrent que c'est un travail. Finalement, ils décident quand même de s'y rendre mais c'est avant tout pour manger, pour profiter de la distribution de gâteaux que fait l'institutrice, Mlle Lundi. D'ailleurs, une fois leur portion avalée, ils déguerpissent


(...)


Et avec James Thiérrée ?
Je lui racontais souvent des anecdotes roms que je connaissais pour "l'habiter". Je voulais que Taloche ait des antennes, qu'il sente le danger. Comme les oiseaux qui sentent l'orage arriver. James est comme ça, animal. Un exemple : pour une scène de danse, je lui ai écrit une musique de guerre avec des gens qui crient en rom : "Ne tirez pas !", "Arrêtez le meurtre !". Quand James est arrivé et que je lui ai demandé de danser sur cette musique, on avait l'impression qu'il faisait l'amour avec la terre, qu'il était en osmose avec elle. Un animal qui baisait la terre."


Liberte film de Tony Gatlif

dimanche 13 décembre 2009

Crea 13 XII 2009 - Edith Piaf dessin portrait encre

Portrait d'Edith Piaf 

Encre - dessin rapide sur papier - format A3

Ink - quick drawing on paper - A3

La Môme : Edith Piaf
dessin cliquable pour le voir en plus grand
click for the big version...


Edith Piaf la mome dessin portrait Liz douce folie




"Même quand on l'a perdu,
l'amour qu'on a connu vous laisse un goût de miel.
L'amour, c'est éternel !    "
Edith Piaf - citation    


Photos mars 2009 Un temps révolu


"Un temps révolu" ou...

"L'obscurité, l'ombre, la lumière et les formes"

photos de mars 2009.

Photobucket

Photo ombre lumiere noir et blanc douce folie

Photo ombre lumiere noir et blanc douce folie

Photo ombre lumiere noir et blanc douce folie

Photo ombre lumiere noir et blanc douce folie

Photo ombre lumiere noir et blanc douce folie

Photo ombre lumiere noir et blanc douce folie

Photo ombre lumiere noir et blanc douce folie

Photo ombre lumiere noir et blanc douce folie

Photo ombre lumiere noir et blanc douce folie

Photo ombre lumiere noir et blanc douce folie

Photo ombre lumiere noir et blanc douce folie

Photo ombre lumiere noir et blanc douce folie

Photo ombre lumiere noir et blanc douce folie

Photo ombre lumiere noir et blanc douce folie

Photo ombre lumiere noir et blanc douce folie

Photo ombre lumiere noir et blanc douce folie


Photo ombre lumiere noir et blanc douce folie

Photo ombre lumiere noir et blanc douce folie

Photo ombre lumiere noir et blanc douce folie

Photo ombre lumiere noir et blanc douce folie

Photo ombre lumiere sepia douce folie

Photo ombre lumiere sepia douce folie



Petit plaisir... photo de Makocz qui a profité de la sortie
Photo ombre lumiere noir et blanc douce folie


Photos : Liz ©

samedi 12 décembre 2009

Crea 12 XII 2009 - Serge Gainsbourg Jane Birkin

Serge Gainsbourg et Jane Birkin
d'après l'affiche du film "Cannabis" de 1970
film de Pierre Koralnik, musique du film par Serge Gainsbourg.
(pour la petite histoire : Un gangster américain chargé d'un trafic de drogue en France fait la connaissance d'une jeune femme dont il tombe amoureux, et essaie de se racheter une conduite...)


Encre, aquarelle, acrylique
dessin rapide sur papier - format A3

Ink, watercolor, acrylic
quick drawing on paper - A3


dessin cliquable pour le voir en entier
click for the full drawing...
Jane Birkin Serge Gainsbourg film Cannabis 1970

"La vie ne vaut d'être vécue
Sans amour."
Paroles de la chanson "La javanaise"   
 

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"Rendre l'âme ? D'accord, mais à qui ?"
Serge Gainsbourg - citation

jeudi 10 décembre 2009

Crea 10 XII 09 - portrait Johnny Depp - Japon 2009

Johnny Depp lors de la promo du film "Public Enemies" au Japon , le 09 décembre 2009
Encre, aquarelle
sur papier - format A3



Ink, watercolor
on paper - A3


dessin cliquable pour le voir en entier
click for the full drawing...  


Johnny Depp Japan PE 2009 conference press ink watercolor

Crea 10 XII 09 - portrait Charles Bukowski encre ink

Portrait de Charles Bukowski
réalisé en 40 minutes environ


Encre sur papier - format A3

Ink on paper - A3

dessin cliquable pour le voir en entier
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Charles Bukowski ink encre portrait drawing


“Some people never go crazy,
What truly horrible lives they must live”

Charles Bukowski, quote / citation

mardi 8 décembre 2009

Crea 07 XII 09 - dessin Johnny Depp - illustration


J'ai essayé de dessiner Johnny Depp dans le style personnage de Comics.
Encre, aquarelle, acrylique
sur papier - format A3


Ink, watercolor, acrylic
on paper - A3
A different style: more like a Comic character.

D'après une photo du 12 novembre 2009, de Brigitte Lacombe

Johnny Depp - dessin cliquable pour le voir en entier
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Johnny Depp ink encre aquarelle watercolor acrylique comics 2009


mercredi 2 décembre 2009

Créa 1er XII 09 portrait Said Taghmaoui encre

Portrait - drawing


Portrait de l'acteur Saïd Taghmaoui
Encre noir (black ink) - plume et pinceau

d'après une photo du film de Gillies MacKinnon :
Marrakech Express (Hideous Kinky) avec Kate Winslet




dessin cliquable / click...

Portrait acteur Saïd Taghmaoui Encre noir plume et pinceau